Voilà, c'est fini. Mais c'est déjà pas mal, non?
C'est quand même hallucinant. On se doute bien que jamais la scénariste (car c'était bien une femme, n'est-ce pas ?) n'aurait pu imaginer de se faire gauler les mains dans le plagiat si longtemps après...!
Dans les deux exemples, je trouve les cadrages d'Hermann absolument parfait.
La vue en plongée pour se duel qui s'annonce, c'est du cinéma 🎬
Les cadrages d'Hermann sont excellent et bien plus travaillé.
Une petite remarque, tous les auteurs/dessinateurs ne sont pas automatiquement des cinéaste. Autant Hermann est un "cinéaste" autant Cosey est un "photographe" dans la mise en scène.
Bien vu, Patrick, c'est très, très vrai. Et ce n'est en aucun cas méprisant ni pour l'un ni pour l'autre.
C'est quand même hallucinant. On se doute bien que jamais la scénariste (car c'était bien une femme, n'est-ce pas ?) n'aurait pu imaginer de se faire gauler les mains dans le plagiat si longtemps après...!
D'un autre côté, si le plagiat est resté aussi longtemps inaperçu, c'est que la copie a raté sa cible. A quoi ça sert de plagier si c'est pour avoir (beaucoup) moins de succès que son modèle...
Dans les deux exemples, je trouve les cadrages d'Hermann absolument parfait.
La vue en plongée pour se duel qui s'annonce, c'est du cinéma 🎬
Les cadrages d'Hermann sont excellent et bien plus travaillé.
Une petite remarque, tous les auteurs/dessinateurs ne sont pas automatiquement des cinéaste. Autant Hermann est un "cinéaste" autant Cosey est un "photographe" dans la mise en scène.
Bien vu, Patrick, c'est très, très vrai. Et ce n'est en aucun cas méprisant ni pour l'un ni pour l'autre.
Loin de là. L'idée était de montrer que la BD n'est pas automatiquement mise en scène comme un film. Et Cosey représente, avec une certaine adresse, la présentation "photographique", par excellence.
Dans les deux exemples, je trouve les cadrages d'Hermann absolument parfait.
La vue en plongée pour se duel qui s'annonce, c'est du cinéma 🎬
Les cadrages d'Hermann sont excellent et bien plus travaillé.
Une petite remarque, tous les auteurs/dessinateurs ne sont pas automatiquement des cinéaste. Autant Hermann est un "cinéaste" autant Cosey est un "photographe" dans la mise en scène.
Bien vu, Patrick, c'est très, très vrai. Et ce n'est en aucun cas méprisant ni pour l'un ni pour l'autre.
Loin de là. L'idée était de montrer que la BD n'est pas automatiquement mise en scène comme un film. Et Cosey représente, avec une certaine adresse, la présentation "photographique", par excellence.
On est d'accord.
C'est quand même hallucinant. On se doute bien que jamais la scénariste (car c'était bien une femme, n'est-ce pas ?) n'aurait pu imaginer de se faire gauler les mains dans le plagiat si longtemps après...!
D'un autre côté, si le plagiat est resté aussi longtemps inaperçu, c'est que la copie a raté sa cible. A quoi ça sert de plagier si c'est pour avoir (beaucoup) moins de succès que son modèle...
C'est le plagiat de Comanche, une série majeure pour les années 70 et pourtant il est (à ma connaissance) référencé en presque nulle part... 🤔 Bien sûr que les "pieds de nez" de Le corps d'Algernon Brown sont souvent citées en exemple, comme le "coussin" de Berney Jordan. Par contre, presque aucune trace de ce plagiat. Alors je ne vous dit pas la surprise que j'ai eu, lorsque j'ai eu connaissance de ce plagiat. Surtout qu'il est flagrant, comme je viens de le démontrer.
Je suppose que nous n'aurons jamais la réponse, à savoir pourquoi les auteurs ont effectué ce plagiat. Ils sont décédés en emportant leur secret avec eux.
Mortimer est paru dans ces pocket bas de gamme (je parle de la qualité du papier et de l'impression) mais les tirages tournaient autour des 70'000 exemplaires. J'imagine que ces parutions n'avaient pas le même réseau de distributions que les BDs et je ne sais pas spécialement comment elles étaient écoulées. Est-ce que Elvifrance avait une mauvaise réputation chez les lecteurs de petits Mickey? Quoiqu'il en soit, je suis surpris que vers 1974, personne n'a relevé ce plagiat. Après la parution de ces pockets, je ne pense pas qu'il y a eu de réédition. Ce n'est pas tout à fait juste car une des aventures Mortimer a été repris dans un album Format 250x345 mm également édité par Elvifrance.
Concernant le scénariste, je l'ai déjà mentionné en 2 fois. Je vais vous présenter l'extrait :
(A noter qu'il est également mentionné que le scénariste était Giorgio Pedrazzi dans cet article)
Pas le même public peut être... 🤔
J'aimais bien la presse pocket gamin, vers 8-10 ans, j'en lisait pas mal, à peu près tout ce qui me tombait sous la main, mais les albums franco belges, rarement, mis à part des Lucky Lucke en souple, parce que certainement moins chers (nous n'étions pas riches).
Tu connais la suite de Mortimer ou bien tu ignores si le calque se poursuit ?
Sans doute le scénariste à t'il pompé allègrement pour produire vite, ce qui vaut pour le dessin vaut aussi pour le scénario.
Je partage une petite anecdote qui me vient tout droit du sanglier : à l'époque du festival de Sierre, ça doit remonter dans les trente ans au minimum, il se promenait dans les allées entre deux dédicaces et ouvre par curiosité un album qui l'avait intrigué. Il découvre avec stupeur un plagiat quasi parfait de Bernard Prince en espagnol. Les responsables du forfait, deux auteurs Mexicains, étant présents sur place, il arbore devant leur nez l'objet du délit (par chance, il maitrise plutôt bien la langue de Cervantes et peut leur parler en espagnol) : mais vous avez tout copié sur Bernard Prince, leur dit-il, c'est du pur plagiat ! Les deux loustics semblent ne pas comprendre et lui répondent par un désarmant : ben oui...
En effet, ils trouvaient ça parfaitement normal et ne comprenaient pas du tout pourquoi ce "gringo" en faisait tout un foin...
Le sanglier ne se souvient plus de l'identité des plagiaires ni du titre de l'album (ou des albums) mais ce serait amusant de retrouver leurs traces. Si vous avez du temps à perdre !... 😉
Les deux loustics semblent ne pas comprendre et lui répondent par un désarmant : ben oui...
Eh oui ! il n'y a eu qu'un seul Diderot, et il n'était pas mexicain.
Ils ont dû copieusement se faire engueuler 🤣
Le sanglier était, je crois, trop abasourdi par leur réponse pour pouvoir réagir. Il s'attendait à de l'embarras de leur part, du déni voire une certaine agressivité mais pas du tout : c'était tout à fait normal pour eux. A un point tel qu'ils ne comprenaient pas pourquoi ce gringo se montrait tout surpris.
J'ai rapidement cherché si je trouvais trace de cette BD mexicaine, mais c'est plus dans les cordes de Nim ou Patrick ce boulot.. J'ai rien trouvé
La seule possibilité serait à mon sens de retrouver le nom de ces auteurs via la liste des invités au festival de Sierre lors des éditions où le sanglier était présent. Car je doute très fort qu'une simple recherche avec les mots clés "plagiat" "Bernard Prince" et "BD mexicaine" aboutisse. A moins de tomber sur un spécialiste de la BD mexicaine des années 80-90...