Je dis comme not' ouaibmaistre, bien sûr. 🙂
Lors de la toute première diffusion, si je me rappelle bien, ces épisodes étaient saucissonnés à peu près au format des précédents, et le rythme était... bizarre. Mais wikipédia semble indiquer que la diffusion a commencé par les huit fois 52 minutes.
En tout cas je me rappelle de la longue pause (six mois) qui a eu lieu au milieu...
52 minutes qui en font 46 si on en croit la durée affichée sur Youtube. A moins que chaque épisode ait bénéficié d'un nouveau montage qui l'aurait écourté de 6 minutes ?
Wiki a dit : « La version director's cut se présente sous la forme de 8 épisodes de 50 minutes. Contrairement aux primes de 50 minutes diffusées sur M6, elle comporte toutes les séquences présentes dans les versions courtes. Cette version n'a jamais été diffusée mais il s'agit de la version de la saison mise en ligne sur YouTube. » De là à dire que ça répond...
Pour être précis, en se basant sur ce que dit Youtube, les trois premiers épisodes du Livre V font en effet environ 46 minutes, les trois suivants entre 55 et 57 minutes et les deux derniers 44 et 50 minutes.
Même topo pour le Livre VI, on passe d'épisodes de 44 minutes à d'autres qui en font plus de 50, le huitième, Lacrimosa, dépassant l'heure.
En faisant la moyenne des épisodes du Livre V, on arrive à 50 minutes par épisode. Donc deux de moins que ce qu'annonce Wikipedia. Deux minutes, ce n'est pas grand-chose mais si on les multiplie par le nombre d'épisodes, on arrive à 16 minutes. Je me pose donc la question : la page Wikipedia se trompe-t-elle ou Astier a-t-il sucré certaines scènes ?
Pour être précis
Bah, les chiffres, c'est pas une science exacte (aussi vrai que le gras c'est la vie) !
Faudrait demander ça sur un forum ad hoc.
Je le ferai, à l'occasion...
Oh, tu sais, c'est pas comme si c'était très important. Je m'interrogeais comme ça en passant mais dans le fond je m'en fiche un peu. L'essentiel est que la série existe et qu'on prenne toujours autant de plaisir à la (re)découvrir.
Sinon... elle est où la poulette ?
Ben ! elle est bien cachée autour du doigt qu'on utilise pour savoir s'il va y avoir du vent ! Cette question ! 🤨
P.-S. Oui, je sais, normalement faut un coq, mais je pense que ça marche aussi avec la poule(tte)... 🤤
Ben dis donc, si c'est comme ça que tu conçois une cachette, je ne jouerai jamais à cache-cache avec toi ! 😀
Série particulièrement géniale. D'habitude, les séries françaises m'ennuient poliment ( y'avait quoi avant? Un gars une fille ou scène de ménage ? Bon bref...), et puis Astier déboule avec cet ovni, irrésistible, aussi bon que les anglo-saxons mais justement bien français, avec des dialogues savoureux qui peuvent faire penser à Audiard mais sans faire pâle copie.
Le Roi Loth, adepte de citations latines bidons et amateur de complots foireux doit être mon personnage préféré
y'avait quoi avant?
Juste avant y avait Caméra café, dont j'étais très client. En apprenant que ça cessait, j'ai regardé le premier soir de ce qui lui succédait, sans vraiment y croire... mais c'était Kaamelott (qui ne s'écrivait même pas encore comme ça d'ailleurs) !
Je ne sais pas si on les trouve sur l'internet, mais si pas je recommande aux gars de prendre connaissance des épisodes inédits dits "pilotes", qu'on trouve en DVD (et sûrement en Blu-ray) dans le Livre I.
Ils sont intéressants à plus d'un titre, notamment la distribution des rôles. Et c'est d'eux que viennent certaines images du générique...
y'avait quoi avant?
Juste avant y avait Caméra café, dont j'étais très client. En apprenant que ça cessait, j'ai regardé le premier soir de ce qui lui succédait, sans vraiment y croire... mais c'était Kaamelott (qui ne s'écrivait même pas encore comme ça d'ailleurs) !
Ah, oui !!! C'est vrai. J'aimais bien également.
Mais Kaamelott, c'est vraiment 2 étages au dessus.
Sur le moment, la tournure que la série a prise, à savoir passer du très drôle au moins ,, drôle ? Je sais pas, ça m'avait déconcerté. Et puis, avec le temps, je trouve ça brillant.
Déconcertés, oui, on a dû être un paquet, au tournant des saisons 4 à 5. Mais Astier savait où il allait, et il l'a démontré...